Accueil » 2012-07-08
Keski s'est passé cette semaine ? 12-07-2012

Keski s'est passé cette semaine ? 12-07-2012









12-07-2012

PAN ENQUÊTE : 5 bonnes raisons d'interdire l'abattage halal

PAN ENQUÊTE : 5 bonnes raisons d'interdire l'abattage halal



Depuis le ler juillet, Gaia, l'association de défense du bien-être animal, lance une nouvelle campagne en faveur de l'étourdissement préalable des animaux destinés à la boucherie.

Il en va du bien-être de 250.000 animaux, égorgés selon les rites musulmans, dans des conditions atroces.

Les chiffres scandalisent :
 92 % des moutons sont désormais massacrés, ainsi que 21 % des veaux et 10% des bœufs et vaches (et nous n'incluons pas les animaux égorgés selon les rites casher), dans notre pays.

Pour se faire une idée de la monstruosité de l'abattage rituel musulman, allez sur le site www.gaia.be

Pour des raisons électoralistes, certaines villes et communes adoptent une scandaleuse tolérance envers les égorgeurs de rite halal. Cette année, la "Fête" du Sacrifice aura lieu le 26 octobre - après les élections communales, ce qui promet une vague de "tolérance" au nom de la "multiculturalité".

Déjà, à titre de provocation, de nombreux musulmans interrogent publiquement les candidats sur leur attitude vis-à-vis de l'abattage rituel...

S'opposer à ce dernier est immédiatement taxé d'islamophobie, ce qui fait frémir de joie les gestapistes du Centre de l'Egalité des Chances.

Voici donc 5 bonnes raisons de boycotter la viande halal.

Première raison.
L'abattage halal est en infraction avec la loi belge (en vigueur depuis le 14 août 1986) et la directive européenne 93/119/ CEE, renforcée par un règlement adopté le 22 juin 2009 et d'application obligatoire à partir du 1er janvier 2013.
Cela signifie que depuis 1993, les abattoirs halal narguent les lois.., sans que cela n'indigne trop le monde politique. Il aura fallu attendre 20 ans pour contraindre cette engeance à se plier aux lois basées sur les sentiments humains de respect pour l'ani-mal. Tout "aménagement" de ces textes légaux par des politiciens complaisants est donc un déni de justice et pourrait faire l'objet de poursuites par des associations citoyennes.

Deuxième raison.
Les conditions d'hygiène d'abattage halal sont loin d'être satisfaisantes.
En moyenne les abattoirs halal sont moins contrôlés par l'Afsca (Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire) que les abattoirs traditionnels. Les inspecteurs de l'Agence se plaignent d'être menacés par les propriétaires et le personnel des abattoirs halal.
En clair, cela signifie que la qualité de la viande halal ne peut être garantie à 100%.
Par ailleurs, on se souviendra que seuls 1,8 % des restaurants exotiques, affichant leur certification halal, ainsi que les snacks (kebab, diiriim, pittas...) répondent aux normes d'hygiène exigées par la loi.
Conclusion : 98,2 % de ces établissements vendant de la viande halal menacent votre santé !

Troisième raison.
La certification halal se révèle très fantaisiste et relève plus de l'appât du gain que du soucis de bonne santé.
Pour être déclarée "halal" une viande doit obtenir la certification par une association ou un imam désigné. En réalité, il suffit de payer un religieux vaguement titré pour obtenir le certificat ad hoc. L'ennui, c'est que le marché halal se révélant très lucratif, les officines de certification halal se bousculent au portillon et on est en droit de se poser des questions sur leur légitimité. Ainsi, une association "European Certification and Control of Halal (ECCH)" se présente comme membre de la "Halal Federation of Belgium':

Bizarre, non, un label "européen" se justifiant par son appartenance à une association belge ? Un peu comme si la Commission Européenne se légitimait en se réclamant du gouverne-ment wallon. Un des slogans de l'ECCH est "Manger halal, c'est manger sain". Justification? Un verset du Coran ! "0 vous les gens, mangez de ce qui est légale: bon sur la Terre" (2:168) - dans le genre sérieux et rassurant, peut mieux faire...

Au passage, remarquons que ce verset n'oblige aucunement à l'abattage sans étourdissement.

Quatrième raison.
La certification halal finance le terrorisme Islamique.
La preuve en est faite avec ces "fous de Dieu" envoyés en Afghanistan, au Pakistan dans les pays du Golfe ou autres havres du terrorisme islamique :
leur ticket d'avion a souvent été payé par des imams enrichis grâce aux certificats halal qu'ils vendent à tour de bras. Ces papiers ne sont jamais valables qu'un an, ce qui offre de belles perspectives financières aux "saints hommes"— Manger halal, c'est soutenir les semeurs de haine et de violence, qui prospèrent de plus en plus dans les mosquées, dévoyant une jeunesse mal éduquée et sans emploi.

Cinquième raison.
Accepter le halal, c'est accepter la baisse de qualité de la viande mise en vente.
Il faut savoir que les bons musulmans ne mangent pas tous les morceaux d'un animal égorgé. Les parties rejetées, bonnes pour les chiens d'infidèles, se retrouvent dans le commerce normal. Voulant profiter de la mode halal, qui pèse 5,5 milliards d'euros en Europe, certains abattoirs traditionnels veulent se convertir à l'abattage sans étourdissement, estimant que cela revient moins cher qu'un abattage tel que prescrit par la loi. Cela aboutit à découper des bêtes encore en vie, car attendre la mort de l'animal égorgé est trop long pour les normes de rentabilité...
De ce fait, le niveau de l'hygiène baisse dangereusement. Manger du halal sans le savoir, c'est mettre votre santé en danger. Il faut donc réclamer que l'origine halal d'une viande soit clairement indiquée sur les emballages, y compris dans les rayons qui ne sont pas halal!
Que conclure ? Dans un premier temps, il est urgent de boycotter les boucheries halal, ainsi que les restaurants et snacks (comme la chaîne de viande poulets Hector) affichant leurs certifications halal.
Par la même occasion, on peut participer à la campagne de Gaia en versant une participation au compte BE32 0012 3616 8202

Oscar louis

12-07-2012


Article également disponible dans le blog 100% HARAM

VERS LE MILLION DE MUSULMANS EN COMMUNAUTE FRANCAISE !

VERS LE MILLION DE MUSULMANS EN COMMUNAUTE FRANCAISE !



La 69ème sera-t-elle érotique ? Toujours est-il que la Région bruxelloise compte actuellement 68 mosquées, dont 18 à Molenbeek. Joli record pour une commune dirigée par un autoproclamé chevalier de la laïcité et qui n'a jamais compté autant d'églises, même à l'époque des immigrations flamande et italienne. Question de ne pas effrayer les chiens d'infidèles, les mosquées sont souvent re-baptisées "centres culturels".

Autre astuce : des "centres culturels" sont à la base de la construction de mosquées ayant minaret sur rue.

C'est le cas à Liège (nous en parlions la semaine dernière), mais on retrouve la même ruse à Mons, par exemple, où un "centre culturel" turc - normal, la cité du Doudou Elio sera ville "culturelle" en 2015!

A Bruxelles ville, il y a un projet de mosquée à édifier dans le parc Fontainas - mais l'annonce sera reportée après les élections du 14 octobre.

A Molenbeek, le parc Marie-Josée serait visé et un projet de mosquée existe pour le réaménagement des rives du canal de Willebroek. Tout cela, dans la plus parfaite opacité. C'est qu'en additionnant les immigrés, les gens "issus de l'immigration", les illégaux, les regroupés familiaux et l'afflux incontrôlé de populations (140.000 rien qu'en 2011 !), certains n'hésitent pas annoncer le franchissement de la barre du million de musulmans rien que dans des villes comme Liège, Charleroi, Mons et Bruxelles.

Cela fera beaucoup de travail pour les imams subsidiés par la généreuse Belgique. On apprend ainsi que le salaire brut d'un imam s'élève à 2309,67 euros mensuels, alors qu'un curé catholique et un pasteur protestant doivent se contenter de 1.660,38 euros (chiffres obtenus au Ministère de la Justice).

A ce petit butin viennent s'ajouter les "aides" venues de l'étranger.

La Turquie, via son directoire des affaires religieuses, contrôle la plupart des "centres culturels" pour les Turcs installés en Belgique. Il en va de même pour le Maroc, de l'Arabie saoudite (maître de la mosquée du Cinquantenaire) du Qatar et d'Abu Dhabi.

La générosité s'accompagne de contraintes : adoption d'une ligne extrémiste de l'islam.

Autre conséquence : l'Etat belge ne sait pas ce qui se passe ou se dit et se trame dans ces "centres culturels" chiites et sunnites.

On serait curieux de connaître la réaction de la Belgique si les églises catholiques étaient assujetties à un état étranger, sans que l'Etat puisse y mettre le nez...

On comprend mieux pourquoi les mosquées n'expriment pas un enthousiasme fou à se faire reconnaître chez nous : cela les obligerait à ouvrir leurs livres de comptes. Et le hasard fait que la présence de l'Etat dans les mosquées reconnues est attribuée à des allochtones.


12-07-2012