Accueil » 2012-11-18
NUIT NOIRE SUR MAROC

NUIT NOIRE SUR MAROC


La cause est entendue : il n'y a de racisme que chez les Blancs. Ce fléau est inconnu chez les représentants d'autres territoires de la haute civilisation. Quoi-que... Dans l'hebdo marocain "Actuel": un Sénégalais nommé Bassirou Bâ raconte sa très édifiante mésaventure. Citations: "Le mépris du peuple, comme des élites (marocains - ndlr) pour les Noirs est une constante de la société marocaine": (...) nous avons essuyé des jets de pierres de la part de gamins qui devaient avoir entre douze et quatorze ans, et qui criaient à tue-tête "Cannibales! Cannibales !'.' (...) Une rebuffade que j'ai toujours du mal à oublie?. Précisons que cela se passait en 2000, et non aux temps abhorrés de la colonisation - à quand les excuses et les repentirs du Maroc ? Autre anecdote significative : "La scène s'est déroulée à Rabat (..). Un ami comorien au teint de jais, qui venait de recevoir sa bourse, s'est arrêté devant une femme d'un âge avancé qui lui tendait la sébile et lui a remis une pièce de dix dirhams. Alors qu'il continuait son chemin, il entendit la mendiante dire en arabe : "Oh, mon Dieu, qu'aile fait pour mériter un tel sort : un Noir, un fils d'esclave, qui me fait l'aumône': Et pour terminer, une scène que l'on croirait sortie tout droit du quotidien des Bruxellois : une étudiante noire se trouve à bord d'un autobus bondé et cède sa place à une vieille Marocaine : "Alors qu'elle s'attendait à un mot aimable, voire de bénédiction, la jeune fille a eu droit à un terrible : "De toute façon, elle n'est qu'une esclave et donc elle devait céder sa place à n'importe quel Marocain dans ce bus f: Au cas où les rapaces du Centre pour l'Egalité des Chances avaient du mal à retrouver ce témoignage, signalons qu'il a paru sur le site Slate Afrique, le 4 octobre 2012. Depuis, l'Organisation Internationale des Migrations (OMI) a réclamé un budget de 620.000 euros "pour faciliter le retour d'un millier de migrants africains au Maroc dans leur pays d'origine': Et voilà comment la communauté internationale finance le racisme marocain...

Oscar Louis

22-11-2012

Nos impôts financent les terroristes du Hamas

Nos impôts financent les terroristes du Hamas




"Hamas ! Hamas ! Tous les Juifs au gaz! Non, ce n'est pas une vocifération entendue dans les rues de Berlin, entre 1933 et 1945 ; ce slogan a été vomi le 18 novembre 2012, à Anvers, devant le palais provincial, par des manifestants pro-palestiniens. Les images et une version audio circulent sur You Tube — cela dit à l'intention de Karine Lalieux (députée fédérale PS), Pierre Galand (ex-sénateur PS, ex-Oxfam et président du Centre d'Action Laique), Mahinur Özdemir (députée voilée bruxelloise CDH), Jamal lkazban (député bruxellois PS) et Fouad Ahidar (député bruxellois SP-A). Pourquoi ces 5 zigotos plutôt que d'autres ? Parce que, le 31 mai 2010, ils ont tous participé à une manifestation pro-Hamas, devant le Ministère des Affaires étrangères.

Jamal Ikazban a poussé la crapulerie plus loin : il est le 458ème signataire de la pétition réclamant le retrait du Hamas des organisations terroristes. Le PS a même dû bidouiller la photo électorale de ce député "bruxellois", qui arborait fièrement le drapeau palestinien au revers de son veston — ce qui aurait pu choquer les naïfs s'attendant à voir le pin's du drapeau belge, porté par un candidat désirant se faire élire en Belgique. 

Au moins, on sait maintenant où ce M. Ikazban va chercher ses électeurs... En se faisant les champions du Hamas, les Lalieux, Galand, Özdemir, lkazban et Ahidar endossent, peut-être malgré eux, les très nuancés braillements"Hamas ! Hamas ! Tous les Juifs au gaz !" et l'élégant programme du Hamas, à Gaza, tel que nous le publions en page 10. Autant le dire : nous en avons marre des terroristes palestiniens et de leurs agents. Marre des mensonges sur une bande de Gaza définie comme un"camp de concentration en plein air". Même bombardée, Gaza ne présente pas l'aspect d'un bidonville : le commerce y est florissant, les denrées alimentaires y abondent (venues d'Israël, soit dit en passant), les hôpitaux ne manquent pas de médicaments, ni de caves où s'entassent des roquettes qui seront lancées sur le voisin honni.

Quand l'émir du Qatar vient offrir 400 millions de dollars au Hamas (23 octobre 2012), il n'est pas reçu au milieu d'un champ de ruines, mais dans un palace dont aucun hôtel bruxellois n'égale le luxe. Ça fait un peu désordre dans un "camp de concentration en plein air", non ? Marre d'entendre serinée la complainte sur la "population opprimée et terrorisée" de la bande Gaza. Opprimée, elle l'est — par son propre gouvernement, qui détourne les aides "humanitaires" au seul profit de ses membres. Terrorisée, elle l'est — par son propre gouvernement qui a instauré la terreur comme arme du pouvoir. Mais il se fait que les Lalieux, Galand, Özdemir, lkazban, Ahidar et tant d'autres grandes consciences nous ont juré, croix de bois croix de fer, que le Hamas avait été élu "démocratiquement" par la population de Gaza. Si cela était vrai, on suppose que ces messieurs-dames acceptent de voir ces populations massacrées pour les fautes et les erreurs de leurs dirigeants"démocratiquement" élus. Un peu comme on a trouvé normal que les populations allemandes "paient" pour les folies de Hitler... En moins de dix ans, l'Union Européenne a offert pas loin d'un milliard d'euros au Hamas et au Fatah, deux organisations terroristes qui ont le sang de milliers d'innocents sur les mains. Rappelons que le Fatah fut la création de Yasser Arafat, ce terroriste qui finit... 

Prix Nobel de la Paix ! Cet argent — notre argent de contribuables — a financé l'achat d'armes qui ont transité par le Soudan, la Libye, l'Egypte (une superbe démocratie, née au printemps arabe, comme chacun sait) et l'Iran. Jusqu'ici, le Qatar payait la facture des engins de mort ; à présent, il le fait ouvertement, sous prétexte d'aide humanitaire de 400 millions de dollars. Notre argent de contribuables européens a permis à des terroristes de se surarmer et de devenir une menace tant pour ses voisins que pour des pays plus éloignés. Honte donc sur nos dirigeants qui continuent à entretenir la fiction d'une bande de Gaza souffrante et, conséquemment, l'arrosent d'euros, sans que l'on n'en voie l'intérêt pour le citoyen européen. Honte à ces élus belges qui poussent la provocation obscène jusqu'à soutenir avec fanfaronnade des terroristes, prêts à frapper n'importe où dans le monde. Parce que ces brutes se fichent de Gaza comme de leur premier keffieh : ivres de pouvoir, ils rêvent d'imposer leur loi au monde entier. Cela ne risque pas d'arriver, mais en attendant, que de morts, que de sang versé, que d'injustices perpétrées... Honte à ces élus belges, pécheurs de voix musulmanes, qui ne réagissent même pas aux clameurs « Hamas ! Hamas !Tous les Juifs au gaz ! » Comme si rien ne s'était passé au 20ème siècle.


Ubu-Pan du 22/11/2012