LE CENTRE POUR L'ÉGALITÉ DES CHANCES ENVOYÉ SE FAIRE VOIR - 26 septembre 2013

Fin 2010, Edouard Delruelle, directeur adjoint du CECLR, déposait une plainte contre Aldo-Michel Mungo pour "incitation à la haine des musulmans".
Crime de ce dernier: il avait établi un lien entre la certification halal et le financement du terrorisme musulman. Pour le Centre pour l'Egalité des Chances, ce lien est considéré comme une forme de racisme. rien de moins ! D'où la plainte.


Le Parquet du Procureur du Roi de Bruxelles a estimé la plainte infondée et a décidé d'abandonner toutes les poursuites contre Mungo. Selon ce dernier : "Le Parquet a fait suite ainsi à mon mémoire de défense, par lequel je démontrais non seulement le lien, mais que des décisions de justice s'imposaient en la matière à la Belgique en vertu de la Convention de New-York. J'ai chargé ce jour mon avocat d'évaluer les possibilités d'une plainte contre Edouard Delruelle et le CECLR pour dénonciation calomnieuse à l'autorité".

Ce n'est pas la première fois que le Centre essuie une telle rebuffade. En 1996, il s'était fait envoyer sur les roses, après avoir introduit une plainte contre le rédacteur en chef de Télémoustique, coupable d'avoir publié le premier reportage dénonçant le virage terroriste pris par les mosquées de Molenbeek. Face aux faits, le Parquet avait abandonné les poursuites.

Cela dit les agitations manquées du Centre coûtent cher au contribuable. N'oublions pas que cette Gestapo de la pensée korrekte est alimentée par l'argent de nos taxes. Toutes les actions en justice nécessitent les services d'un ou plusieurs avocats. Des robins"amis", comme on s'en doute. Dans le cas de Télémoustique, ce fut un certain François Jongen, mieux connu sous son pseudo de Nicolas Blanmont, chroniqueur musical à La Libre et ancien commentateur du Concours Reine Elisabeth. L'homme promeut les œuvres de son grand-père, Joseph Jongen, qui est à la musique ce que le boudin compote est à la haute cuisine.

N'étant pas fervent de la philanthropie militante, l'avocat Jongen s'est fait rémunérer par le Centre - autrement dit par le contribuable. Qui a reçu, en outre, la facture des frais de procédure !

Combien de temps ce dernier devra-t-il financer les humeurs dispendieuses de ces messieurs du Centre pour l'Egalité des Chances et de l'Inégalité des traitements ? Quand une employée de ce centre s'en va faire de la propagande pro-palestinienne dans les écoles et en catimini, anti-israélienne, toute la clique dirigeante du Centre se drape dans sa vertu larmoyante et invoque les Grand Principes pour ne pas inquiéter la coupable.

Tout cela coûte cher et il serait urgent de faire l'économie d'un jouet malodorant, uniquement créé pour faire taire les voix discordantes dans l'assourdissant concert de la pensée unique. Et caser les copains.