Retour des égorgeurs musulmans en Belgique le 15 octobre - 19 septembre 2013




II est encore temps de se mobiliser. Non, vous ne lisez pas un fac-simile d'un journal de 1939, tentant d'unir les forces vives de la Nation contre le futur envahisseur allemand. Cette fois, il s'agit de défendre la gent ovine. Les moutons, les agneaux - tout ce qui moutonne, comme dirait Chantecler, le coq inventé par Edmond Rostand. 



Et donc, en se mobilisant pour, on se mobilisera contre. Le 15 octobre, nombre de communes et villes belges vont voir se dérouler un théâtre sanguinaire, à côté duquel le Grand Guignol ferait figure d'album de la collection Martine.

Ce jour-là, plus de 50.000 moutons seront égorgés dans des conditions de souffrance, indignes d'un 21 ème siècle qui se dit tellement soucieux de "mieux-vivre", de "vivre ensemble", de respect et d'empathie.

Ce jour là, le sang va couler à flot. Sous les yeux des victimes suivantes.

Ce jour-là, des animaux hébétés, mal-traités pendant le transport (parfois depuis la Pologne, les achats de moutons ne profitent même pas aux éleveurs belges !) seront coincés de force dans des appareils de torture, attendant qu'un barbare leur tranche la gorge, avant de les laisser agoniser pendant plus de 12 minutes...

Et cela se passe sur le territoire belge. Et cela se passe avec l'accord des politiciens qui espèrent que derrière chaque égorgement se cache une voix aux prochaines élections.

Mais surtout, cela se passe au mépris des lois belges sur le bien-être animal. Ici, messieurs et mesdames les musulmans, on estime qu'un animal est un être vivant qui mérite le respect. Un animal, ce n'est pas un objet ou un amas de morceaux de viande - dont certains vous plaisent si peu que vous les rejetez dans un esprit de gaspillage qui ne vous honore pas.

Et comme si cela ne suffisait pas, vous achetez des moutons qui, sous d'obscurantistes prétextes, sont rejetés. Vous les abandonnez, vous foutant de leur sort comme Mahomet de son premier Juif égorgé.

Et n'essayez pas de dire le contraire : au refuge de Meslin-l'Evêque, géré par l'ASBL Animaux en Péril, ils sont nombreux, les moutons recueillis, tandis qu'ils attendaient la mort, abandonnés, affamés, rejetés par les saints égorgeurs.

L'un d'entre eux a reçu le doux nom de Choco, en raison de sa toison brune - et j'en suis devenu le parrain.

Par cet acte, je regrette cependant une chose : avaliser en quelque sorte la bêtise humaine - votre bêtise, messieurs et mesdames musulmans "festifs".

Vous ne vous souciez pas de la vie, animale ou humaine. Une communauté, capable d'égorger des animaux dans des conditions atroces, est parfaitement outillée, matériellement et psychologiquement, pour zigouiller des êtres humains. Voulez-vous que nous parlions des "rebelles" du printemps arabe ? Ne faites pas comme syrien ne s'était passé en Egypte, en Libye, en Syrie (merci à un Canard pour le jeu de mots)...

La joie avec laquelle les musulmans "enrichissent" Youtube ou d'autres canaux numériques avec des images d'égorgements de prêtres, d'opposants, bref de gens qui ne vous plaisent pas, en dit long sur une tradition bien ancrée dans une religion qui veut, prétend-elle, partir à la conquête du monde.

Un monde sans moutons, sans agneaux, sans doute ? L'autre jour, des Marocains de Belgique annonçaient vouloir partir... au Maroc, parce qu'on y trouverait plus facilement du travail. Ils épanchaient leur fiel dans De Standaard, enveloppant leurs propos dans un mépris pour la Belgique, qui leur a payé leurs études, les a nourris à coups d'allocations pour lesquelles ils n'avaient jamais épargné.

On leur dirait à la manière bruxelloise "Partez seulement !". L'ennui, c'est que vous laisserez derrière vous les bas de plafond, qui ne sont bons à rien au Maroc et mauvais en tout en Belgique. C'est chez eux que l'on trouve le plus grand nombre d'enthousiastes de l'égorgement des moutons et autres traditions sanguinolentes de l'islam.

Foin d'hypocrisie : l'égorgement des moutons ne relève pas de l'islam. Quand Bart Somers, bourgmestre de Malines, a fait voter une taxe sur l'abattage rituel, les musulmans ont annoncé qu'ils se passeraient d'abattage.

Le plus triste, c'est qu'ils étaient indignés et parlaient de racisme...

Ubu-Pan - 19 septembre 2013