Accueil » 2013-02-17
La faillite du multiculturel

LA FAILLITE DU MULTICULTUREL



Cela fait 30 ans que l'on nous bassine les oreilles avec de belles envolées lyriques à propos de la "société multiculturelle", qui serait une chance pour une Belgique. Comme chacun sait, notre terre d'héroïsme n'avait pas de culture - à part Breughel, les frères Van Eyck, Teniers, Rubens, Magritte, Permeke, Delvaux, Maeterlinck (Prix Nobel), Brel. Franquin et quelques centaines d'autres.

L'immigration italienne est exemplaire : elle a réellement enrichi notre culture - tout en douceur (songeons à Adamo) - et nous a même fourni un premier ministre, plus belge que certaines vieilles familles, enfuies vers des paradis fiscaux.

Il en va de même avec les immigrations espagnole, polonaise, portugaise, qui tout en conservant la fierté de leurs racines, ont apporté leur pierre à l'identité belge.

Il est à remarquer que les Grandes Consciences n'ont jamais parlé de "multiculturalité" à l'époque où les Italiens, Polonais, Slaves et autres trimaient dans les mines ou dans l'aciérie.

En revanche, ces mêmes Grandes Consciences n'ont que le mot "multiculturalité" ou "interculturalité" à la bouche pour désigner un apport culturel qui n'en est pas un.

Contrairement aux vagues d'immigration précédentes en deux générations, les immigrations turque et maghrébine ne nous ont rien apporté en trois générations. A part leurs obsessions musulmanes, antisémites et anti-occidentales. A part le voile, les barbus, le halal, les traditions barbares et l'importation de querelles lointaines, qui n'ont rien à voir avec les réalités belges.

Il fallait voir ces voilées, d'ordinaire amorphes, sans emploi et animées du désir de ne pas travailler, il fallait les voir s'agiter en faveur du boycott des produits israéliens. Une manifestation antisémite prétendument au bénéfice des Palestiniens, qui ont pour seul intérêt que leur arabité chez des gens qui ne sont pas palestiniens et ne savent pas toujours situer cette région sur une carte, car leur assiduité aux cours de géographie laissait à désirer...


Les immigrations turque et maghrébine n'ont en rien enrichi la culture belge. Au contraire elles l'ont pervertie. Ainsi, la "Plateforme d'Enquête sur les Jeunes", organisation flamande, a interrogé 3.867 écoliers du secondaire, à Gand et Anvers, sur certains aspects de la vie quotidienne. Résultats éclairants !

Un élève sur 10 trouve légitime la violence contre les homosexuels. Si nous comptons bien, cela fait près de 400 élèves. Précision importante dans ce groupe, les élèves musulmans se retrouvent trois fois plus nombreux que les autres : 30 contre 10. Mark Elchardus, le sociologue responsable de l'étude, tire la sonnette d'alarme : "Le fossé entre musulmans et non-musulmans n'a jamais été aussi profond. C'est la première fois, depuis des décennies, que cela arrive".

Autrement dit, plus le temps passe et moins les musulmans ont envie de se fondre dans la société belge. Les ados musulmans, nés en Belgique de parents nés en Belgique, rejettent notre société et n'ont pas l'intention de lui apporter quoi que ce soit - ce qui n'était pas le cas de leurs grands-parents. Est-il normal que des enfants de la troisième voir quatrième génération arrivent à l'école primaire sans connaître un mot de français ?

Les Italiens venus en Belgique dans les années 1940-1950 n'étaient pas beaucoup plus lettrés que les Maghrébins qui continuent à déferler chez nous. La seule différence : ils attachaient un prix énorme à l'éducation de leurs enfants. Combien de témoignages ne racontent-ils pas ces pères qui apprenaient à lire en même temps que leurs enfants ? Ces mères qui parlaient français grâce aux devoirs que devaient remplir leurs fils et filles. Cette fierté de maîtriser la langue française et flamande, en dépit de comportements xénophobes de certains Belges, qui ne mobilisaient aucune Grande Conscience...

Tous les beaux discours sur le multiculturel sont autant d'impostures et de mensonges. Ils ne cachent qu'une réalité sordide : celle des politiciens, bien décidés à utiliser à leurs ambitions électoralistes une population qui ne s'intégrera jamais - on pourrait tirer le même bilan en France, en Allemagne, en Espagne, en Grèce et en Italie.

Foin de leurs mascarades, niant le fait que 85 % de la population des principales prisons sont musulmans !

Foin de leur laxisme à l'égard des musulmans qui ne respectent pas les lois (l'étourdissement préalable des animaux d'abattoir, par exemple), empoisonnent littéralement leurs clients (ce 7 février ont été saisis 250 kilos de produits alimentaires avariés - viande, poisson, glaces -mis en vente dans des "épiceries" de Molenbeek, tenues par des Maghrébins). Foin de ces magistrats qui remettent en liberté de jeunes assassins (le cas s'est récemment présenté à Borgerhout, où l'auteur de coups de couteau ne s'est pas vu attribuer une incarcération). Sans la prise de mesures radicales contre tous les intégrismes, nous filons droit vers la guerre civile.


Le journal d'Ali Heige du 21-02-2013

Le journal d'Ali Heige du 21-02-2013


Alors SAMEDI, notre Ali s'en va rendre visite à ce grand prêtre de l'islam radical auquel les médias traditionnels n'ont consacré que 15 secondes de leur édition de midi pour évoquer sa libération après huit mois de prison. Il faut dire que l'homme n'avait été condamné à 18 mois de prison "que" pour incitation à la haine, à la violence et à la discrimination envers les non-musulmans. Sur place, Ali apprend que le pauvre Fouad Belkacem devra porter un bracelet électronique et ne pourra plus semer le trouble dans la sphère publique. Et son avocat d'expliquer : "On veut bâillonner mon client". Ali Heige n'en revient pas en constatant qu'on empêche tout simplement à ce modèle d'intégrisme d'hurler sa haine de l'occident et des Occidentaux. Et puis il s'aperçoit que la définition de son cousin Fouad du "bon musulman" ("Un bon musulman est soit un musulman mort, soit un prisonnier, soit un futur prisonnier") serait condamnée devant n'importe quelle juridiction si elle avait été prononcée par un athée. Alors dimanche soir, il jalouse un petit peu l'ombre chinoise en forme de muezzin que son cousin projette fièrement sur le mur du dortoir.

D.B.
21-02-2013

Keski s'est passé cette semaine ? 21-02-2013

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